28.01.2011
Pendant que les Tunisiens se révoltaient contre la dictature de Ben Ali, le régime infect de Sarkozy lui proposait son aide pour mater les manifestants, un domaine dans lequel la police sarkozyste excelle en effet.
Le journal Le Monde a révélé cette semaine que la France avait notamment envoyé en Tunisie plusieurs tonnes de grenades lacrymogènes. Selon le quotidien, le ministère des Affaires étrangères a joué un rôle central dans ces exportations qui nécessitent la triple signature des ministères de l'Intérieur, des Affaires étrangères et de la Défense.
Depuis la chute de Ben Ali, le régime de Sarkozy essaye vainement de se rattraper par des déclarations diverses, la dernière en date a été faite aujourd'hui par Sarkozy. Pendant sa conférence de presse, il a admis ne pas avoir pris "la juste mesure" de la "désespérance", du "sentiment d'étouffer" et de la "colère" du peuple tunisien.
Nicolas Sarkozy ferait bien de prendre également la mesure de la désespérance, du sentiment d'étouffer et de la colère du peuple français avant que celui-ci ne fasse à son tour la révolution avec une revendication aussi explicite qu'en Tunisie et maintenant en Egypte: "Sarkozy, dégage !"
Le journal Le Monde a révélé cette semaine que la France avait notamment envoyé en Tunisie plusieurs tonnes de grenades lacrymogènes. Selon le quotidien, le ministère des Affaires étrangères a joué un rôle central dans ces exportations qui nécessitent la triple signature des ministères de l'Intérieur, des Affaires étrangères et de la Défense.
Depuis la chute de Ben Ali, le régime de Sarkozy essaye vainement de se rattraper par des déclarations diverses, la dernière en date a été faite aujourd'hui par Sarkozy. Pendant sa conférence de presse, il a admis ne pas avoir pris "la juste mesure" de la "désespérance", du "sentiment d'étouffer" et de la "colère" du peuple tunisien.
Nicolas Sarkozy ferait bien de prendre également la mesure de la désespérance, du sentiment d'étouffer et de la colère du peuple français avant que celui-ci ne fasse à son tour la révolution avec une revendication aussi explicite qu'en Tunisie et maintenant en Egypte: "Sarkozy, dégage !"